Examen de l'édition Dying Light Platinum (Interrupteur)

Note: Dying Light Platinum Edition est indisponible sur Switch eShop en Europe au moment de la rédaction, en attente d'un problème d'interdiction du jeu en Allemagne.

En 2011, Techland est sorti Dead Island sur la plupart des consoles de septième génération à une réception principalement positive. Toujours, Dead Island n'avait jamais vraiment été le jeu que Techland avait imaginé, en raison à la fois de différences créatives avec l'éditeur et de limitations matérielles. As a result, le studio s'est lancé seul et a commencé le développement de Dying Light, une version beaucoup plus ambitieuse qui, espérons-le, serait beaucoup plus proche de la vision originale du studio.

Dying Light sorti quelques années plus tard en 2015 à un accueil et des ventes beaucoup plus positifs, et maintenant Techland a réussi la tâche herculéenne de presser sa version phare sur le Switch. Bien qu'il existe des limitations matérielles indéniables, Dying Light Édition Platine traduit néanmoins l'expérience complète dans toute son horreur, gloire des morts-vivants au Switch avec des résultats impressionnants.

Dying Light vous place dans le rôle de Kyle Crane, un membre d'une organisation appelée Global Relief Effort qui vise évidemment à endiguer les problèmes qui ont surgi de la pandémie de zombies. Nous commençons avec Kyle effectuant un saut HALO dans la ville de Harran – qui a été entièrement envahie par les zombies – à la recherche d'un homme qui aurait des dossiers liés à un remède potentiel contre l'infection.. Bien sûr, les choses ne se passent pas exactement comme prévu, et Kyle est presque immédiatement mordu, mais il est sauvé par une coalition locale de survivants et rejoint bientôt leurs rangs en tant que « scout » qui gère les fournitures dans toute la ville. Dying Light peut ne pas présenter un récit particulièrement mémorable ou captivant, mais l'histoire frappe toujours le bon ton et ne gêne pas beaucoup le gameplay agréable.

At its heart, Dying Light est un jeu de plateforme et un bagarreur à la première personne, avec quelques éléments RPG légers saupoudrés pour garder les choses intéressantes. En tant que jeu d'action en monde ouvert, Dying Light suit la méthode éprouvée de vous donner un grand terrain de jeu pour explorer et accomplir des quêtes dans. La majeure partie de votre temps sera consacrée à errer dans les rues décrépites - rampant avec des morts-vivants - à essayer de trouver les itinéraires les plus efficaces sur les bâtiments et autres objets environnementaux lorsque vous allez ici pour récupérer un objet ou là pour tuer un autre ennemi spécial. Kyle est particulièrement doué pour le freerun, et cet athlétisme est crucial pour la survie lorsque vous sautez, climb, et sauter pratiquement everything.

Regarder n'importe quelle surface et appuyer sur "R" incitera Kyle à grimper, et votre mobilité est souvent votre atout le plus important pour passer en un seul morceau. Tu peux toujours bats toi les zombies, et il y a souvent des situations où vous n'avez pas le choix, mais il est très clair que ce n'est pas l'option la plus idéale.

Pour une chose, les armes à feu ne sont pas vraiment un facteur ici. Non seulement les balles sont extrêmement difficiles à trouver, mais tirer n'importe quel coup risque d'attirer l'attention de zombies qui sont beaucoup plus difficiles à secouer en sautant simplement par-dessus une clôture. La plupart de votre temps sera consacré à l'utilisation de tuyaux, clés à douille, planches, et tout ce que vous ressentez peut décapiter un zombie si vous le balancez assez fort. Tout a des niveaux de puissance et une rareté différents, et utiliser une arme trop souvent entraînera sa rupture et deviendra effectivement inutile. Not to worry, cependant, car vous pouvez utiliser des pièces de rechange pour réparer et même améliorer vos armes préférées avec de nouvelles améliorations si vous avez les bons matériaux.

En pratique, cela ressemble un peu à une version moins exaspérante du système d'équipement dans Souffle de la nature. Vos armes ne sont pas forcément en verre mais, un peu comme le gameplay fluide, vous êtes encouragé à éviter la stagnation et à continuer à passer à d'autres équipements. Mais si tu really comme cette clé à douille, vous pouvez peut-être lancer un mod dessus qui allumera vos ennemis en feu et rendra l'arme beaucoup plus viable.

Les éléments RPG interviennent encore plus lorsqu'il s'agit de construire Kyle, who starts with three branching skill trees that govern his abilities. Every single time you pull yourself up another ledge or jump over another car hood, Kyle will gain a few more points towards leveling his Agility Tree. Every time you bludgeon another zombie with a piece of wood, you’ll gain a few points towards your Power tree. This creates a nicely rewarding feedback loop where no instance of Dying Light’s gameplay feels like it’s being wasted. No matter what you do, quelque chose is leveling up and eventually giving you rewards to make the game that much easier.

This being the Platinum Edition, you can rest assured that there is an absolute mountain of content to chew through. While it may sometimes feel like Dying Light 2 has perpetually been the game that’s coming out ‘soon’, Techland has been keeping fans busy by maintaining a near constant stream of updates and DLC for the last six years. Mutant Mudds Dev annonce un nouveau "jeu de fête en ligne occasionnel", all this content comes free, and easily adds on an additional fifty or so hours to an already sizable base game. Plus, those of you who want to forage through this content with a friend or two can enjoy local (sans fil) or online co-op. There’s even a fun ‘Be the Zombie’ game mode for those of you who want to battle it out with other players, though it must be said that this feels more like an amusing distraction than a full-fledged game mode. All of this is to say, Dying Light is an awfully good bang for your buck; il est fort probable que vous ne finissiez pas celui-ci en ayant l'impression de vous être fait arnaquer.

Le seul reproche majeur que nous puissions vraiment formuler contre Dying Light est que ce port Switch n'est évidemment pas la plus jolie version du marché.. Le framerate de 30FPS reste raisonnablement proche de son objectif, mais les choses ont tendance à devenir plus saccadées quand il se passe plus à l'écran, et cela peut être particulièrement flagrant lorsque vous fuyez des hordes nocturnes.

Beyond this, les textures les plus boueuses, des ombres plus floues, et les pop-in plus fréquents enlèvent également un peu du frisson de l'action. Tout est dit, ne négligeons pas l'effort miraculeux qui a permis de faire fonctionner Dying Light du tout sur l'humble matériel du Switch. Il peut sembler plutôt rugueux sur les bords, mais ces compromis visuels sont facilement écartés par la commodité de jouer une version aussi ambitieuse en déplacement. Compte tenu de cela, il va donc de soi que si vous n'êtes pas du genre à sortir très souvent votre Switch du dock ou de la maison, il n'y a pas beaucoup de raisons d'acheter cette version à moins que vous n'ayez pas accès à d'autres, matériel plus puissant pour l'exécuter.

Conclusion

Dying Light on Switch est une réalisation assez remarquable, et nous sommes heureux d'annoncer que Techland a surtout bloqué l'atterrissage avec celui-ci. Son monde ouvert ambitieux plein de zombies ne ressemble à rien d'autre dans la bibliothèque de Switch et, entre la campagne principale et six ans de mises à jour constantes du DLC, il y a potentiellement des centaines d'heures de plaisir à avoir ici. Attribuées, tout cela se fait au prix de performances qui peuvent être médiocres par rapport à d'autres plates-formes, mais cela est parfaitement équilibré par la commodité de jouer en mode portable. Nous donnerions à Dying Light une forte recommandation, mais avec la mise en garde que les propriétaires de Switch qui jouent rarement en mode portable peuvent vouloir faire une pause et envisager de l'acheter ailleurs. Partout où tu peux tomber, nous vous encourageons fortement à envisager ce port Switch; c'est vraiment très bon.